J’ai écrit ces lignes vers l’âge de 17 ans, profondément marqué comme tant d’autres de ma génération, par la disparition de Kurt Cobain. Je n’ai jamais vraiment su d’où venait cet appel si fort, cette nostalgie, cette mélancolie. Des années plus tard, en triant des boîtes à souvenirs, je suis retombé sur ce petit bout de papier.
Alors autant en faire quelque chose de doux, de vrai. Un geste de soutien pour celles et ceux qui ont besoin d’amour, d’une épaule sur laquelle se poser, se reposer… Sentir qu’un peu de réconfort existe, dans le regard de l’autre, dans la chaleur des autres, dans ce « nous » qui fait du bien.
Soyez fort·e·s. Vous n’êtes pas seul·e·s. Jamais.